L'espace numérique Micro-Folies à Yquebeuf retransmet dans le cadre de l'opération "Opéra d'été", les performences de l'Opéra national de Paris. Avec l'orchestre et les choeurs de l'Opéra National de Paris, les étoiles, les premiers danseurs et le corps de ballet. L’opération est destinée à décentraliser et démocratiser l’accès à l’Opéra National de Paris.
Dans le cadre de cette opération, l’Opéra et la Commune d’Yquebeuf ont souhaité présenter à l’Espace Arts et Cultures (Mairie d’Yquebeuf) :
Le 30 août à 16h30 : La Fille Mal Gardée d'Ashton
L'accueil du public se fait 30 mn avant la diffusion
Dans la version de Frederick Ashton (1960), La Fille mal gardée reste un ballet comique et pastoral, mais avec une touche poétique et pleine de tendresse. Ashton s’est inspiré de la trame originale de Dauberval (1789), tout en enrichissant les personnages et en modernisant la danse.
Lise, la fille de la Veuve Simone, est éprise de Colas, un jeune paysan vif et charmant.
Sa mère, la veuve, veut la marier au maladroit et ridicule Alain, fils d’un riche vigneron.
Ashton introduit des scènes pittoresques et drôles (le fameux numéro de la veuve Simone avec les claquettes en sabots, ou la danse du ruban et du maypole).
Après bien des quiproquos et tentatives de contrôle de la mère, l’amour sincère de Lise et Colas finit par triompher. La mère, attendrie, accepte leur union.
Cette version est célèbre pour son humour bon enfant, sa fraîcheur champêtre, ses danses de rubans et son mélange de virtuosité classique et d’esprit populaire. C’est un ballet lumineux, qui finit dans la joie et la célébration.
Dans le cadre de cette opération, l’Opéra et la Commune d’Yquebeuf ont souhaité présenter à l’Espace Arts et Cultures (Mairie d’Yquebeuf) :
Le 30 août à 16h30 : La Fille Mal Gardée d'Ashton
L'accueil du public se fait 30 mn avant la diffusion
Dans la version de Frederick Ashton (1960), La Fille mal gardée reste un ballet comique et pastoral, mais avec une touche poétique et pleine de tendresse. Ashton s’est inspiré de la trame originale de Dauberval (1789), tout en enrichissant les personnages et en modernisant la danse.
Lise, la fille de la Veuve Simone, est éprise de Colas, un jeune paysan vif et charmant.
Sa mère, la veuve, veut la marier au maladroit et ridicule Alain, fils d’un riche vigneron.
Ashton introduit des scènes pittoresques et drôles (le fameux numéro de la veuve Simone avec les claquettes en sabots, ou la danse du ruban et du maypole).
Après bien des quiproquos et tentatives de contrôle de la mère, l’amour sincère de Lise et Colas finit par triompher. La mère, attendrie, accepte leur union.
Cette version est célèbre pour son humour bon enfant, sa fraîcheur champêtre, ses danses de rubans et son mélange de virtuosité classique et d’esprit populaire. C’est un ballet lumineux, qui finit dans la joie et la célébration.
